
La proposition d’une trêve d’un mois de toutes les opérations aériennes et maritimes ou visant les infrastructures énergétiques en Ukraine telle que formulée par la France à l’issue du sommet de Londres (2 mars 2025) semble faire long feu. C’était pourtant un premier pas vers une désescalade du conflit ukrainien. Elle était à la fois un test de la bonne foi russe et de la bonne volonté américaine...